La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.
22 Décembre 2015
Travailleur, c'est de toi que parlait l'autre soir à la télé, un ancien ministre des Postes et des Télécommunications, homme très à droite, confortablement recasé comme sénateur.
"On commence trop tard, on arrête trop tôt, on ne travaille pas assez d’heures par semaine, et pas assez de semaines dans l’année", telle est la déclaration en forme de programme, faite hier soir sur la chaine Public-Sénat par .
Pour ce sénateur, la souffrance au travail, le stress, la fatigue, et même l'implication des travailleurs à leur travail, ça n'existe pas ! Tous des fainéants !
Après avoir commencé doucement sa diatribe contre les travailleurs français, il se fit plus méprisant encore quelques minutes plus tard : "La formation professionnelle, c’est indispensable, mais ce qui compte le plus c’est la motivation professionnelle. Nous avons des Français qui ont des poils dans la main, il faut le savoir".
Fier de son coup il a prolongé ensuite en imitant ces prétendus Français feignants : "C’est trop dur, c’est trop loin, c’est pas ce que je veux. Moi, j’ai été formé pour faire du théâtre et on me propose de faire du commerce (…) C’est une vérité. Tous les employeurs vous le disent", a-t-il conclu.
Si tu veux :
Par: UL CGT DIEPPE.