La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.
29 Mai 2013
L’accord sur l’ANI (Accord National Interprofessionnel) signé par trois syndicats (CFDT- CFTC-CGC) et le Medef le 11 janvier dernier a été salué comme ‘historique’ par Hollande et Parisot, gagnant- gagnant par les syndicats signataires.
Gagnant pour le patronat qui peut licencier plus facilement, baisser les salaires, muter les salariés suivant ses besoins.
Le gagnant pour les salariés était soumis à de nouvelles négociations, qui viennent de commencer concernant les CDI intérimaires. Les propositions patronales sont tellement horribles que même le CFDT ne peut en l’état les accepter. Il en est de même pour celle portant sur la « qualité de vie au travail » !!
Les négociations sont bloquées.
Hé oui ! C’est cela la négociation entre partenaires sociaux. Toujours plus pour les patrons, toujours moins pour les salariés.
La réalité finit par apparaître. Le capitalisme ne donne rien, ne partage rien. La lutte de classe est une réalité. Le capitalisme la mène tous les jours dans tous les domaines pour accroître ses profits. Tous ceux qui la nient, au gouvernement, dans les partis politiques, les syndicats ne servent que les intérêts du capital.
Pour nous nous entendons la mener jusqu'à son terme, jusqu’à la disparition du capitalisme.
Par Citoyen 18.