La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.
12 Janvier 2013
La fillette a été privée de cantine scolaire mardi midi pour cause de facture impayée par ses parents. L'enfant, élève en grande section de maternelle, a dû quitter le réfectoire à la demande d'une policière municipale.
La municipalité d'Ustaritz gère la cantine de la maternelle © Maxppp
L'affaire s'est déroulée à Ustaritz dans les Pyrénées Atlantiques et mis en émoi toute la commune. En effet, c'est une policière municipale qui est venue retirer Léa de la cantine. La raison : ses parents en pleine séparation doivent 170 euros à la cantine municipale. La méthode a choqué les enfants qui ont cru que leur petite camarade avait été envoyée en prison.
"C'est un procédé irresponsable" (directeur de l'école Saint Vincent)
Le directeur de l'école maternelle Saint Vincent, Laurent Aguergaray, n'en revient pas. Il n'était pas au courant du problème d'impayés de la famille et que l'enfant ne pouvait avoir accès au réfectoire. Il a précisé que Léa et ses camarades avaient été traumatisés : "Quand Léa est revenue dans l'après-midi ils étaient étonnés. Ils pensaient qu'elle était en prison. La maîtresse a discuté avec toute la classe pour tenter de dédramatiser".
Le père de Léa a raconté au journal Sud Ouest qui a révélé l'affaire que sa fille avait été très choquée lorsque la policière municipale était venue la chercher, pensant que ses parents étaient morts. Le maire d'Ustaritz, qui gère la cantine scolaire, n'était pas immédiatement joignable.
Par Journal "Sud Ouest"