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La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.

Air France : Jean Claude Gayssot (ex-PCF) et l'ouverture du capital d'Air France.

En juin 1997, le ministre "communiste", Jean Claude Gayssot, lançait "l'ouverture du capital" d'Air France et annonçait à la commission européenne « le jour où je ne serai plus là, vous direz, ça y est, c'est privatisé. »

La privatisation d'Air France est un sujet récurrent.

Dès son arrivée au ministère des Transports en 1997, Jean-Claude Gayssot fut confronté à une offensive favorable à ce projet, menée notamment par le président de la compagnie nationale à l'époque. Le ministre se déclara alors opposé à ce projet, tout en considérant qu'il était nécessaire d'obtenir une respiration de l'entreprise pour nouer de nouvelles alliances.

Le 10 septembre 1997, peu de temps après la démission de Christian Blanc, Jean-Claude Gayssot expliquait dans le quotidien la Tribune que " l'ouverture du capital d'Air France ne doit pas conduire à la privatisation ". Peu de temps auparavant, il avait déclaré, à propos d'une probable ouverture du capital de la compagnie nationale : " ni privatisation, ni statu quo ".

Favorable à une " respiration " de l'entreprise il rappelait que " l'actionnaire public doit être très largement majoritaire, et l'actionnariat privé, dans le cadre d'alliances, très largement minoritaire ". Il affirmait que " le dogme est du côté de la privatisation, de la pensée unique ", et disait-il, " je n'ai pas entendu d'arguments suffisamment solides pour la justifier.

A contrario, je considère que le fait qu'Air France soit une entreprise publique est un atout pour le transport aérien français. Cela, par exemple, a permis au pavillon français de revenir à 42 % de marché sur l'Atlantique nord face aux Américains, contre 26 % en 1992 ".
Par BLOG/N.MAURY.
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