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La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.

Prix de la viande....

Seriez-vous prêt à payer la viande plus cher pour soutenir les éleveurs ?

Oui

 

39,8%

Non

 

60,2%

François Hollande intervient dans le débat sur la crise de l'élevage. «Je lance encore un appel à cette grande distribution, pour qu'elle offre aux consommateurs la qualité et aux agriculteurs un prix», a lancé le présidentde la République lors d'une visite en Lozère ce samedi.

Puis de nouveau, sur la ligne d'arrivée de l'étape du Tour de France, le chef de l'Etat a incité «les consommateurs à faire aussi un effort» face à la gravité de la crise et «à manger autant qu'il est possible les produits de l'élevage français».

 

 

Les éleveurs ne sont plus que des pions sur un jeu d’échec, manipulés par les GMS et les industriels avec une règle qui est celle de ne pas en avoir et un observateur qui a sifflé la fin de la partie sur la base d’un accord verbal.

 

Cet accord consiste à injecter un sérum de réhydratation à des pions asséchés par les acteurs du marché, mais les joueurs jouent la montre.

Tirez les premiers disent les uns mais je vous en prie c’est à vous disent les autres !

 

Les éleveurs en ont marre de ce jeu cruel, ils se meurent avec des animaux qui ne trouvent pas preneur.

Mais que les consommateurs ne prennent pas peur, il y aura toujours un trader pour approvisionner les étals en y mettant tout son cœur.

 

Devant ce jeu macabre, n’est-il pas temps pour l’observateur averti qu’est LE FOLL, de tirer d’urgence les enseignements en ramenant au port le tripot sous astreinte d’un prix minimum garanti et rémunérateur pour les éleveurs de vaches, veaux, cochons… ?

 

Les produits agricoles ne sont pas de simples marchandises et les exploitants ne sont pas de simples entrepreneurs tant leurs missions sont plurielles, vitales pour notre société. Puisque le marché n’a que faire de ces travailleurs de la terre et de leur droit à vivre du fruit de leur labeur, alors imposons des prix au premier acheteur.

 


Par: Citoyen18 et Alain GAIGNEROT.
 

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