La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.
21 Février 2015
En 2006, celui qui était alors premier secrétaire du Parti socialiste estimait que le recours à cet article de la Constitution était une "brutalité".
Confronté à une majorité fragile, François Hollande a autorisé, mardi, le gouvernement à recourir à l’article 49-3 pour faire adopter la loi Macron. Un épisode qui en rappelle un autre, il y a une dizaine d’années…
Début 2006, des centaines de milliers d’étudiants sont dans la rue, furieux contre le projet du gouvernement Villepin visant à instituer le contrat première embauche (CPE) pour les jeunes.
Le gouvernement Villepin décide alors de passer en force et fait adopter le CPE à l’Assemblée, en recourant à l’article 49-3 de la Constitution, qui permet l’adoption d’un texte sans vote du Parlement.
Le 9 février 2006, le premier secrétaire du PS, un certain François Hollande, prend la parole pour dénoncer cette pratique : "Malgré ce passage en force, nous poursuivrons le débat parlementaire. Le 49.3 est une brutalité, le 49.3 est un déni de démocratie, le 49.3 est une manière de freiner ou d’empêcher le débat parlementaire."
Par: El Diablo.