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La porte à gauche. Jean FERRAT a chanté que certains prétendent que le bonheur était à la porte à droite. Aujourd’hui est-il à la porte à gauche ? Oui ! mais à la condition de secouer le cocotier de la pensée convenu ! Ce petit blog crée à l’initiative de quelques militants communistes de Vierzon n’a d’autres ambitions que de donner aux citoyens un support pour s’exprimer librement sur les sujets politiques, sociaux ou culturels d’actualité du local à l’international, qui s’émancipe des discours convenus, des lignes officielles décidées par quelques notables de la politique, aux doubles langages, aux bonimenteurs de vraies fausses solutions et qui cultivent la résignation. Déverrouillez les débats et enfoncez la porte à droite (….ou à gauche ?) Les seules limites, car il en faut, à notre liberté : Celle du respect des personnes, le souci de la vérité et de faire vivre le débat. Ainsi seront exclus tous messages comprenant des insultes ou diffamations visant une (des) personne(s), seront exclues, s’ils sont avérées, des informations mensongères ou rumeur infondées. Chacun pourra également participer au débat juste et loyal en signalant un abus de cette nature. Les productions de ces abus seront retirés et l’auteur exclu du blog.

La CGT, un bien commun…

LeBABcgts amis de la CGT, les progressistes suivent avec inquiétude cette crise et la pression médiatique qui l’accompagne, en espérant une résolution qui préserve et renforce un outil sans lequel il serait bien difficile d’envisager de résister à l’offensive patronale.Ce scénario était devenu inéluctable.

En remettant leur mandat, Thierry Lepaon et les huit autres membres du bureau confédéral offrent la possibilité au parlement de la CGT de décider d’une sortie de la crise dans laquelle se débat le principal syndicat français depuis plusieurs semaines.
Il reviendra au comité confédéral national de décider de la physionomie de sa direction et de celui qui l’anime. Nul doute qu’il le fera en privilégiant le rassemblement de l’organisation, la recherche d’un nouvel élan pour porter plus haut les valeurs de la confédération et la défense des intérêts des salariés.

C’est peu dire que les militants, les amis de la CGT, les progressistes suivent avec inquiétude cette crise et la pression médiatique qui l’accompagne, en espérant une résolution qui préserve et renforce un outil sans lequel il serait bien difficile d’envisager de résister à l’offensive patronale, de contrer le libéralisme gouvernemental, de reprendre la marche en avant vers le progrès social. Qui plus que Pierre Gattaz rêve d’une CGT amoindrie ? Peut-être Marine Le Pen…
La nomination d’une direction renouvelée ne suffira pas, jugent la plupart des militants et des responsables cégétistes. Face à la défiance générale qui frappe les institutions, les partis politiques, les syndicats, les associations mêmes, la CGT va devoir innover, vivifier la démocratie dans ses rangs comme dans l’entreprise avec l’ensemble des salariés, faire de ses débats un facteur d’unité, conquérir les territoires désertés par le syndicalisme, affirmer et rendre lisible sa démarche revendicative.
Le chantier est ambitieux face aux sirènes de la fatalité qui dominent les médias. Sa réussite concerne tous les progressistes : la CGT est un bien commun à tout notre peuple.

Il faut que notre Confédération retrouve la route tracée par la CGT de Benoît Frachon, de Georges Séguy et d’Henri Krasucki. 

Par: un syndiqué à la CGT depuis septembre 1972.

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